Quelques gravures sur bois et sur cuivre :
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Le Chevalier, la Mort et le Diable (1513) |
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Gravure sur cuivre : L'équipement du Chevalier se retrouve sur une aquarelle de 1498, montrant un soldat barbu, avec l'inscription : " C'est l'armure actuelle en Allemagne ." Le dessin du cheval rappelle l'époque où Dürer tentait de construire la beauté "avec la règle et le compas". On a cru reconnaitre , dans la monture du Chevalier, une réminiscence du Colleone ou du Gattamelata. *
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Condottieri de Venise représentés par plusieurs statues équestres
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La fuite en Egypte (entre 1502-1504) |
Gravure sur bois :Cette estampe de la vie de Marie comporte la représentation d'une des plus belles forêts que Düre ait dessinées, thème typiquement allemand, qu'il n'a que rarement traité .
Ici nous penserons à Victor Hugo et à son poème dédié à ce peintre !!
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Les quatre cavaliers de l' Apocalypse (1498) |
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Gravure sur bois La version de la Bible dont s'inspira Durer fut la Bible de Cologne (1487). Les quatre cavaliers au-dessus desquels plane l'ange de Dieu, symbolisent les puissances fatales : la Guerre, la Maladie, la Misère et la Mort.
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La Justice (1501?) gravure sur cuivre |
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Monstre marin (v.1496) |
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Gravure sur cuivre : On n'a jamais réussi à expliquer le sens , probablement mythologique, de cette gravure , qui donne une impression de caractère pré-romantique.
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Adoration de l'Enfant (1504) |
Gravure sur cuivre : Dürer avait d'abord intitulé cette estampe Noël. Le paysage parait être de Franconie. De nouveau , des murs en perspective fuyante élargissent l'espace; parmi les ruines et sous les arcs, la vie palpite dans une atmosphère d'intimité que Dürer a obtenue par le moyen de souverains jeux d'ombre et de lumière.
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Saint Georges vainqueur du Dragon (gravure sur cuivre) |
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La Vierge à la haie avec l'Enfant (1503) | | |
Gravure sur cuivre
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Saint Michel terrassant le Dragon (1498) |
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Gravure sur bois Cette gravure appartient à la série de l' Apocalypse. Dürer découvre un nouvel effet de style par l'accentuation du contraste entre la sphère terrestre et la sphère céleste.
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Saint Jérôme dans sa cellule (1514) |
Gravure sur cuivre : L'une des gravures les plus populaires de Dürer. Il faut sans doute en chercher la cause dans l'impression de sérénité qu'elle donne. Chaque détail y est précisé avec amour. Le saint homme, occupé à traduire la Bible , se situe naturellement dans l'ensemble malgré son auréole. La lumière qui passe à travers le vitrage et qui se répand sur les murs avec douceur caresse le contour des choses dans un savoureux clair-obscur .
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La Grande Fortune (1501-1503) |
Gravure sur cuivre (1501-1503) . On l'appelle ainsi pour la distinguer d'une oeuvre antérieure, peu connue, sur le même sujet. Dürer s'est sevi pour le paysage d'une esquisse, de la ville de Klausen, sur la route de Brenner. Le personnage féminin est d'un réalisme presque effrayant.
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La Mélancolie (1514) |
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Gravure sur cuivre : On a donné de cette page étrange de multiples explications. Aussi longtemps que la signification des nombreux objets et du carré magique que l'on voit n'aura pas été nettement prouvée, il faudra se résigner à ne pas déchiffrer entièrement les intentions propres à l'artiste . (Cette remarque date des années 1960 , nous avons surement de nouvelles interprétations . ..)
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Adam et Eve (1504) |
Gravure sur cuivre : Il s'agit en réalité d'Apollon et de Vénus, ainsi que de nombreuses études préparatoires, comprenant des attributs mythologiques, en portent témoignage. Si, pour son estampe définitive, Dürer a chosi ce titre, ce fut probablement pour le rendre plus intelligible à ses compatriotes .
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Portrait de Philipp Melanchthon (1526) |
Gravure sur cuivre : Ce portrait a été fait d'après un dessin. La technique parfaite de la gravure sur cuivre rend bien le caractère du grand érudit, ami et compagnon de Dürer.
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Portrait d' Ulrich Varnbüler (1522) |
Gravure sur bois : Cette gravure, l'une des plus grandes que Dürer ait éxécutées (43x32,3 cm), porte ne lettres latines soigneusement tracées qu'il s'agit de l'oeuvre d'un ami pour un ami... Elle eut tant de succès qu'on la réimprimait encore au XVIIème s.
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Le prince Electeur Frédéric Le Sage (1524) |
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Gravure sur cuivre : Cette gravure , d'après un ancien dessin à la pointe d'argent, représente , plutôt que ce lui d'un sage anonyme, le prince bienveillant qui protégea Dürer. Malgré l'exécution précise de la barbe et de la fourrure, l'expression des yeux domine .
Les commentaires des gravures sont de Hans Eckart Rübesamen.
Du grand art au niveau gravure, ceci dit - et c'est sans doute lié à la technique de gravure sur métal, je trouve ces dessins assez figés, je préfère ceux qu'il a faits plus librement au crayon, et notamment pas dans un but de vendre... j'ai ainsi tout un livre sur ses études des proportions de l'être humain, ou de parties ( mains, pieds)... étonnant.
RépondreSupprimerOui , oui bien sûr René , je suis preneur . J'ai assez peu de dessins ... Je suis complètement fascinée par ce peintre !
RépondreSupprimerExcellente idée que de divulguer Dürer. Si tu passes par l'Alsace, dis-le moi, et je te montrerai les originaux. Une grande richesse symbolique, biblique et ésotérique.
RépondreSupprimerMerci Joël . Je ne sais pas si j'aurai l'occasion d'un déplacement en Alsace mais je suis très touchée par l' intention . A bientôt .
RépondreSupprimer(Je confirme j'apprécie beaucoup Dürer !!)