jeudi 31 mars 2016

L'Edda de Snorri et Völuspa :Genèse

Dans la Völuspa le récit de la voyante  est composé  de    trois parties :
Le passé ,  le  présent  et la fin :, comme résumé sur  Wikipédia:

Résumé

Plusieurs partitions du poème ont été proposées. Notamment, les révélations de la voyante concernent tout d'abord les temps de la création, puis les grands événements mythologiques, qu'elle décrit à la première personne. La fin du monde et ce qui lui succède sont ensuite racontés à la troisième personne. Cette forme de narration, qui évoque un dédoublement de la personnalité, est caractéristique des médiums. Elle dénote peut être une influence chamanique.

Le passé

1-8. Le poème débute sur une présentation de la Völva. Elle est une géante et, comme le lui a demandé Odin, elle va décrire les temps primordiaux. Il n'y avait alors que le vide. Les fils de Bur créèrent ensuite le monde. Il n'y avait non plus ni jour ni nuit. Les dieux se consultèrent alors et organisèrent le temps. Puis ils se rassemblèrent à Idavoll et y érigèrent leurs temples. C'était l'âge d'or.
9-16. Puis les dieux réfléchirent aux peuples que les nains devaient former du sang et des os d'Ymir, le géant primordial. La Völva décline alors la thula des nains.
17-18. Les dieux trouvèrent alors Ask et Embla, le premier homme et la première femme. Ils étaient faibles, alors Odin leur donna l'esprit, Hœnir le sens, et Lódur le sang.

Le présent

Odin et la Völva (Lorenz Frølich, 1895).
19-20. Il y a un arbre primitif, Yggdrasill. Sous celui-ci se trouve le puits où les trois Nornes — Urdr, Vervandi et Skuld — arrêtent le destin des hommes.
21-24. La Völva évoque ensuite la guerre des dieux. Les Ases tentèrent à trois reprises de tuer et brûler Gullveig, une sorcière qui les perturbait. Ils se consultèrent afin de savoir s'il serait payé un tribut aux Vanes. Odin provoqua alors la première guerre contre ceux-ci. Au cours de la guerre, l'enceinte d'Ásgard fut détruite et les Vanes remportèrent la victoire.
25-26. Les remparts de la cité des dieux furent reconstruits. Cependant, les promesses des Ases furent brisées par Thor qui se battit contre le géant bâtisseur.
28-33. Odin revient interroger la voyante et lui offre des bijoux. Elle voit alors la mort de Baldr, tué par son frère avec une branche de gui. Il sera vengé par son autre frère Vali.
34-35. La Völva voit ensuite le supplice de Loki, enchaîné grâce aux chaînes de Vali. Sigyn veille à ses côtés.
36-39. Elle décrit les quatre points cardinaux. Notamment, elle dépeint la sombre demeure des parjures, Náströnd. Nídhögg y suce les cadavres, Garmr les dépèce.
40-43. À l'est, les loups se reproduisent et les signes de la fin se multiplient.

La fin

44-52. Le Ragnarök sera annoncé par Garmr. Les chaînes de Fenrir se briseront, la discorde se répandra et Heimdall soufflera dans Gjallarhorn. Alors que les Ases tiennent conseil, Hrym arrive de l'est et Jörmungand s'agite dans la mer. Les fils de Muspellheim prennent la mer à bord du bateau Naglfar, conduit par Loki. Le géant du feu Surt vient par le sud. Le sol s'ébranle et le ciel se fend.
53. Frigg apprendra avec tristesse que Fenrir a dévoré son mari. Freyr combattra Surtr.
54-58. Plus tard, Vidar tuera le loup. Thor combattra le serpent du monde et mourra ensuite, après avoir fait neuf pas. Le monde vacillera et le feu le recouvrira.
59-66. Puis, à nouveau, Idavoll deviendra verte. Les Ases s'y rassemblent et se remémorent ces événements. Ils retrouveront les tables d'or. Höd et Baldr reviendront du séjour des morts. Tous viendront habiter à Gimlé. Nídhögg redescendra de Nidafjöll et survolera les plaines en portant des cadavres sur ses ailes.


Dans son Edda  Snorri  Sturlusson  suit globalement le  même  schéma reprenant certaines  partitions du poème de la  Völupsa,en  complétant les épisodes de sa  propre vision (ou en  intégrant d'autres sources) les révélations sont faites  à Gylfi caché sous le nom de  Glanderi, par  trois personnages assis devant lui sur trois trônes superposés :
Le  Très haut assis au niveau  inférieur  et   désigné  en  tant  que roi
L'égal du Très haut
et le Tiers ,au sens du  troisième , au  sommet.

(Plus qu'une simple forme  narrative ,il est possible  de lire dans cette description  un  recouvrement par le mythe chrétien)
(image "fantaisiste " surtout pour  les couleurs  d'après un dessin  figurant  dans  le  codex Upsalensis (début  du XIVème "Gangleri questionne" ), illustration  proposée  par  F-X Dillmann.


Les  trois  interlocuteurs de  Glanderi  répondent  à ses questions  dévoilant progressivement les  origines du monde.
- Quel  est le dieu   le  plus  éminent et le   plus  ancien demande-t-il?
- Alfadr  mais  il dispose de   12  autres  noms selon  le lieu où il est vénéré
- Quels  sont  ses  pouvoirs et ses  hauts faits ?

- Eternel, il gouverne son royaume et décide  de toutes choses grandes et petites répond  le  Très  haut
- Il façonna  la terre  le  ciel, l'air  et  tout ce qui s'y trouve  ajoute  l'Egal du Très haut
- le Tiers poursuii :il fit l'homme et lui  donna  une  âme , il vivra et redeviendra  cendres ; les  hommes droits vivront ensuite en Gimlé (ou Vingolf) les autres rejoindront Hel puis  Nifhel tout enbas dans le  9ème  monde.

- Et  avant ? insiste  Glanderi
- Il vivait avec les géants du givre

Et  Glanderi poursuit ce procédé de  questionnement qui  contraint  ses  interlocuteurs à remonter de plus en  plus  loin dans  les origines du monde :

-Qu'y avait-il avant  ?
- le Très  haut : Il n'y avait  rien , comme  le  dit  la  Völuspa :

C'était  à   l'origine des temps
Alors que régnait le néant .
Ni sable, ni mer n'y avait,
Ni vagues glacées.
N'existait la terre,
Ni le ciel  très  haut.
Immense  était l'abîme,
Mais  nulle  plante ne poussait

- L'Egal  du très haut :Avant la terre existait  Nifheim (monde  obscur avec  au centre  la  source Hvergelmir (la source qui résonne , qui  gronde) d'où sortent  les rivières

 - Le tiers :Il y avait cependant au Sud le Muspell où  vit  Surt  ou Sutr avec son épée ardente qui à la fin du  monde détruira  les autres  dieux
comme le dit la  Völuspa [...]

Les fleuves du feu vont vers  la glace
Le froid et  la vapeur  glacée envahirent  l'abîme  Ginnungagap
De la rencontre du  froid et  du  feu , de  la  lumière et  des ténèbres apparut la vie et donna naissance  à  Ymir ou Aurgelmir
De lui naquirent  les géants du givre

-De qoi vivait  Ymir ,où vivait-il ?
- Il vivait dans  les Grottes  du givre  et   le  lait  de  la vache  Audhumla  le nourrissait

     Je m'excuse  mais  la  première version  de  mon article s'est trouvée  effacée  par  une  fausse  manip'.

lundi 28 mars 2016

L'Edda : Gefion et Gylfi


La fontaine de  Gefion  à    Copenhague(1)


Dans  la  Völuspa , le poème du  Xème  ou  XIème  siècle qui rassemble  les grands  mythes nordiques rapporte  les révélations faites  à  Odin  par  une   prophétesse  :
"La Völuspá est un poème cosmogonique et eschatologique qui prend la forme d'un long monologue où une voyante expose au dieu Odin, en une série de visions riches de détails, l'histoire et le destin du monde, des dieux et des hommes, depuis l'origine du monde jusqu'au Ragnarök qui verra l'avènement d'un renouveau de l'univers. Bien que probablement composé par un scalde païen, la plupart des chercheurs s'accordent à penser que le poème a été influencé par des dogmes et l'imagerie chrétiennes qui étaient certainement connus des islandais cultivés à l'époque, comme l'idée de régénération morale après une fin du monde prophétique." (Wikipédia)

Dans  la Gylfaginning de l'Edda  de  Snorri Sturluson (XIIIème siècle)le récit est recueilli par  le roi suédois Gylfi ,qui  s'était rendu  à Asgard , le séjour  des  Ases , après avoir   été  abusé par  la femme troll Gefion, fille d'un géant. On assiste dans cet épisode , à la création  de  l'ile de   Seelande au Danemark:
Le roi  Gylfi régnait sur  des contrées situées dans  le pays qui  porte à  présent le nom de Suède. A son sujet  on raconte qu'en  récompense  du  divertissement qu'elle  lui  avait   procuré, il accorda  à une vagabonde autant de  terre de  labour dans son royaume que quatre bœufs retourneraient  en  un  jour et une nuit. Mais cette femme , dont le nom est  Gefion , appartenait   à la race  des Ases. Elle alla  chercher  au nord , aux Iotunheimar (Jötunheimar: pays des géants) quatre bœufs, lesquels étaient ses fils conçus  avec  un  géant, et les attela à une charrue. Celle-ci progressa si  puissamment et si  profondément qu'un morceau de  terre se  détacha. Les bœufs  tirèrent  vers  la mer  en  direction  de l'Ouest, avant de  s'arrêter  dans  un détroit. Là Gefion fixa  le morceau  de  terre et lui donna un nom : elle l'appela  Seelande . Mais  à  l'endroit  où la terre  s'était soulevée ,il se forma  un  lac : c'est cela qu'on  appelle  en   Suède  le  lac  Mälar. Et les baies y sont  disposées de la  même  façon que  les caps en  Seelande. Voici ce que  dit  le  scalde Bragi l'ancien:

Gefion toute joyeuse
A Gylfi arracha le  joyau des domaines  ancestraux
L'accroissement  du   Danemark,
Si bien  que  fumèrent les  bêtes de  trait.
Huit astres du front ils représentaient,
Les boeufs, et  quatre  têtes,
Quand ils  marchèrent devant le  vaste  butin
De l'île  aux prairies



( Je ne peux m'empêcher  de   penser au stratagème dont  usa  Elissa-Didon la reine  Phénicienne  pour  définir les  limites  de Carthage.!...)



(1) Image sur Wikipedia:
Par Fountain work of Anders Bundgaard (1864-1937), derivative photograph by User:Quistnix — Travail personnel, CC BY 1.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=113042

samedi 26 mars 2016

L'Edda de Snorri Sturluson

Gylfaginning

(La mystification de  Gylfi) 

Ce récit  constitue la  première  partie  de  l' Edda (1)

 Snorri  situe  l'action lors de  la visite d'un roi légendaire  de   Suède, Gilfy,  aux dieux, dans  leur  demeure d'Asgard. Ayant été abusé par une déesse qui  lui avait  enlevé  un  morceau de son  pays, Gilfy  s'interrogeait sur la nature   des  pouvoirs  des  dieux et sur leur  origine. Il décide  de se rendre auprès d'eux, dans la résidence  des  Ases. Il se présente comme un voyageur égaré portant le nom de  Gangleri 
Là, les  Ases  lui promettent  de  répondre  à  ses  questions  à  la condition  de  ne le  libérer que  s'il se  montre   plus savant  qu'eux . Le récit  est construit sous  la forme d'un défi  oratoire.(ce qui  nous rappelle  les jeux d'énigmes ?)
Les interlocuteurs de Gangleri :Ils sont trois, assis sur trois trône superposés; le très haut (sur le trône inférieur) est désigné comme étant le roi, puis vient l'égal du Très haut et enfin le Tiers (au sens de  troisième). Ils interviennent   tour  à  tour  pour  compléter  les  réponses données  à   Gangleri.
Au delà  de la forme narrative, on peut probablement    y lire  les  traces du  recouvrement  par le mythe chrétien.
 
Les premières questions de  Gilfy  portent sur l'origine des temps, sur la création de l'univers , sur l'apparition  des races divines et humaines. Après la description  de la cosmogonie générale  , vient une description des principaux sites célestes autour de  l'arbre  du monde  , le frêne  Yggdrasil, puis une longue présentation  des dieux et  des  déesses avec leurs attributs respectifs. Snorri insère dans  ce  catalogue, certains  épisodes marquant de   la  mythologie  norroise.(enchainement  du  loup  Fenrir grâce au sacrifice de Tyr,  conquête de la belle Gerd par  Skirnir pour son  maître  Freyr etc.....)
Une des représentations du  frêne   Ygrassil
Gylfy  s'instruit   ensuite sur   la Valhalle et  les  guerriers qui s'y trouvent rassemblés  dans l'attente du combat final, sur Sleipnir, le cheval d'Odin, sur la construction de Skidbladnir le bateau de   Freyr. Enfin  les  dieux consentent  à lui raconter l’expédition de  Thor chez  le géant Utgarda-Loki, l’échec (annonciateur  d'une  plus cruelle défaite) qu'y subit le dieu de la force et la revanche  qu'il crut prendre peu  après sur  le   serpent de Mitgard. Le récit de la mort de de  Baldr, suivi de la punition infligée  à  Loki, annonce  le  Crépuscule des dieux dont la grandiose description constitue le  point  d'orgue de la  Gylfaginning. 
Les derniers chapitres évoquent  brièvement le nouveau cycle, lequel  sera dominé  par  les  dieux  jeunes et  bons que l'incendie  universel  aura  épargnés. Après cet  exposé  par  les  Ases,  Gylfy se retrouve  seul  sur une vaste plaine. Les dieux et leur  palais ont disparu. La mystification dont  le  roi suédois  avait  été  l'objet  a pris fin.
Par  la réunion  des différents  mythes dans  la construction  de   son  récit  ,  Snorri  a  établi  une  cohérence  selon  un  plan chronologique  des  plus rigoureux, afin  de donner  une remarquable  unité  à  l'ensemble.
Il a  aussi   tenu  à  citer  ses sources en  puisant  généreusement  dans le   fonds des  poèmes de  l'époque  païenne,La Völuspa notamment, époque pour laquelle il révèle  une profonde  admiration . Quelle  est néanmoins  la part  des  influences  judéo-chrétiennes sur son  récit ?  Depuis  plus d'un  siècle  le  débat  est ouvert  entre philologues et  historiens  des  religions. 

Source  :  préface  de  l'Edda  de Snorri  Sturluson  , récits de  mythologies  nordiques  traduits du vieil islandais introduit  et  annoté  par   François-Xavier  Dillermann (Collection A  l'aube des  peuples  chez  Gallimard)
(1) Le recueil  contient également :une poétique  :  les Skaldskaparmal et un poème et son commentaire : le Hattatal 

Mythologies nordiques

Éléments  pour  aborder cet immense  corpus:

Edda 

Edda de Snorri Sturluson (wikipedia)
 de Snorri Sturluson : recueil  mythologique rédigé en langue  vernaculaire au début  du   XIIIème siècle. contient également le traité sur l'art  poétique Skaldskaparmal et un conte commenté le Hattatal.

Snorri Sturluson  

né  en  Islande en  1179 , homme politique et  poète en art scaldique mort assassiné le 23.9.1241,après plusieurs séjours à la cour des rois de suède et de Norvège.
Egalement auteur de la Heimskringla  ou l'Orbe du monde ou hauts faits  des rois de Norvège- du roi Saint Olaf mort en 1030 à Magnus Erlingsson(règne de 1167à1177)- dont le  1er tome est consacré à l'Ynglinga saga.

Edda  poétique 

Ensemble  de  poèmes  en vieux norrois , poèmes mythologiques  ou  épiques ( il serait préférable de dire poèmes eddiques  pour ne pas  confondre  avec  l'Edda de Snorri Sturlussen) rassemblés et préservés dans un manuscrit   islandais du XIIème siècle : le  Codex  Regius (En latin donc)
Il est la source  principale  de  la  mythologie scandinave .
Le premier  poème et le  plus célèbre est  la  Völuspa

La Völuspa 

en français  la  prophétie de la voyante , composé  probablement du  X au XI ème s., vers l'an  1000 selon Régis Boyer,  (une trentaine  de  strophes du  poèmes  est   reprise   par   Snorri Sturluson dans la Gysfaginnig).
Poème cosmogonique et eschatologique sous la forme  d'un monologue dans lequel une voyante révèle à  Odin, l'histoire et  le  destin du monde, des dieux et des hommes depuis  l'origine  jusqu'au   Ragnarök.
Probablement  composé  par  un Scalde  païen mais  recouvrement   chrétien (ex. régénération morale  après  la fin du monde)
Sur wikipédia résumé  des  Chants.(épisodes, partitions  ou  Thulures )

Odin et la Völva (wikipedia)

Thula 

(pluriel  thulur): genre  poétique médiéval qu'on rencontre  souvent  dans  les poèmes des  mythes et légendes  nordiques issues de  la tradition orale
Longues  énumérations de  noms  propres avec des  moyens  mnémotechniques:
-allitérations
-assonances
-paronymes

Utilisés pour les dynbasties des  nains , des  walkiries , les mille noms  d'Odin, thulures de  géants , d'animaux et d'armes  .
Tolkien  pris dabs  les thulur de nombreux  noms de  nains . (Gandalf est un nom de  nain dans  les thulur )


Les runes, l'alphabet runique ou futhark

(- Futhark :terme formé à partir du nom des six premières lettres de cet alphabet — était l’alphabet utilisé par d'anciens peuples de langue germanique, tels les Scandinaves (pour écrire le vieux norrois, ancêtre des langues scandinaves), les Frisons et les Anglo-Saxons.
Les premières runes ont été gravées pour jouer un rôle magique, c'est-à-dire pour produire par le fait même de leur gravure un effet d'incantation magique. Ceci est bien attesté dans les sagas classiques et dans l'étymologie du terme rún qui signifie « secret » en vieux norrois (pluriel rúnar « les runes »).
source  wikipédia 

 A suivre .....

vendredi 25 mars 2016

Légendes des terres du Nord

Herr Mannelig

Légende  suédoise


Source  wikipédia :
"Herr Mannelig (aussi connu sous le nom de Herr Mannerlig et de Bergatrollets Frieri) est une ballade médiévale suédoise qui raconte l'histoire d'une femme troll qui propose à un chevalier de l'épouser, espérant ainsi devenir humaine.

La ballade commence par une strophe dans laquelle un narrateur raconte qu'une troll tenta de convaincre un chevalier de l'épouser en usant de paroles trompeuses. La suite de la chanson rapporte le dialogue entre les deux personnages. La troll essaye de convaincre le sieur Mannelig (en Suédois : Herr Mannelig) de se marier avec elle, elle espère qu'elle sera ainsi délivrée et qu'elle pourra devenir humaine. Pour convaincre le chevalier, elle lui promet de nombreux présents mais ce dernier finit par refuser : il ne peut l'épouser parce qu'elle n'est pas chrétienne, qu'elle est même une créature satanique ("la fille d'une troll des eaux et du diable")."

La video  visionnée sur  Youtube en plein écran est  superbe !! 

Une autre  version  notamment  pour   les  séquences  de   Drakkar vers  :1,20 !


mercredi 23 mars 2016

H.R. Giger

En  2011  à Vienne , nous avons visité la  Kunsthaus  de Hundertwasser, un artiste  incroyablement fascinant  et  original ..
A ce moment  là se  trouvait abritée l' exposition  d'un artiste   tout aussi fascinant   : H.R. Giger  .



mardi 15 mars 2016

Résistance

Il n'y a pas plus dur combat   que celui qu'on  doit mener  contre soi-même car chaque jour , chaque heure, chaque instant, est une nouvelle bataille .


lundi 7 mars 2016

Soleil noir, Barbara

Mes amis , tout est  là....

"Je veux bien  essayer ,et  faire  semblant  d'y croire
Mais je suis fatiguée  et  le  soleil  est  noir  ...."
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