Elena avait choisi de sauter tandis qu'il poursuivait son chemin .
--Hai voluto !
Torts partagés ...
Il faudrait peut-être trouver maintenant un dénouement à cette histoire . Tragique ? comique ? cynique ? réaliste ?....
Le jardin silencieux dans sa frilosité
Derrière la vitre l'hiver s'est apaisé
Ses assauts sont plus doux ,sa colère s'épuise
Du vent furieux on n'entend plus le hurlement
Le fer de la bise glacée s'émousse
Mais il fait toujours gris
La brume étouffe les bruits
et trouble les contours des objets
qui se fondent informes et livides
La nature n'a plus de couleurs
blottie dans la terne indifférence
D'un amer refus d'existence
dont l'ennui a envahi les heures
De toute chose, le beau a fui, blessé
quand la laideur s'en est allée.
A quoi bon la lumière
si nulle obscurité à vaincre ?
A écrêter les extrêmes
ne reste que le médium
l'ennuyeux , demi mesure
ou clair obscur
Tout s'éteint quand le soleil s'éclipse
la vie ,elle, s'accroche a la lueur d'une chandelle
pour ne pas sombrer dans la nuit
réticente au repos , résignée à ce long crépuscule.
Les branches suintent en pleurs silencieuses,
les gouttent en tombent, comme les larmes
d'un chagrin qui s'éternise,
coulent sans bruit sur les joues
le ciel est absent, le monde n'a plus de profondeur,
l'espace est sans dimension
A deux pas d'ici le brouillard se répand en abîme
et le regard sans repère s'égare dans l'inutile.
Ses assauts sont plus doux ,sa colère s'épuise
Du vent furieux on n'entend plus le hurlement
Le fer de la bise glacée s'émousse
Mais il fait toujours gris
La brume étouffe les bruits
et trouble les contours des objets
qui se fondent informes et livides
La nature n'a plus de couleurs
blottie dans la terne indifférence
D'un amer refus d'existence
dont l'ennui a envahi les heures
De toute chose, le beau a fui, blessé
quand la laideur s'en est allée.
A quoi bon la lumière
si nulle obscurité à vaincre ?
A écrêter les extrêmes
ne reste que le médium
l'ennuyeux , demi mesure
ou clair obscur
Tout s'éteint quand le soleil s'éclipse
la vie ,elle, s'accroche a la lueur d'une chandelle
pour ne pas sombrer dans la nuit
réticente au repos , résignée à ce long crépuscule.
Les branches suintent en pleurs silencieuses,
les gouttent en tombent, comme les larmes
d'un chagrin qui s'éternise,
coulent sans bruit sur les joues
le ciel est absent, le monde n'a plus de profondeur,
l'espace est sans dimension
A deux pas d'ici le brouillard se répand en abîme
et le regard sans repère s'égare dans l'inutile.
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