W.A. Mozart - Concerto per arpa e flauto, K.299 - Andantino
Cette fois c'est dans un train de nuit m'emportant vers la ville éternelle que la harpe mozartienne réveille cette "langueur monotone " qu'on nomme "nostalgie ". Mon rêve s'étire autant que la machine avale les kilomètres de la séparation . J'ai Mozart dans les oreilles , Mozart qui m'accompagne tandis que se profilent au-delà du reflet des vitres renvoyant les pâles veilleuses du compartiment endormi , les sombres silhouettes des alpes valaisannes , gardiennes inflexibles de ma sagesse.
Vieilles réminiscences , démons depuis tant d'années apaisés , puissance de la musique qui fait encore vibrer ces cordes qu'on croit brisées.
Cette fois c'est dans un train de nuit m'emportant vers la ville éternelle que la harpe mozartienne réveille cette "langueur monotone " qu'on nomme "nostalgie ". Mon rêve s'étire autant que la machine avale les kilomètres de la séparation . J'ai Mozart dans les oreilles , Mozart qui m'accompagne tandis que se profilent au-delà du reflet des vitres renvoyant les pâles veilleuses du compartiment endormi , les sombres silhouettes des alpes valaisannes , gardiennes inflexibles de ma sagesse.
Vieilles réminiscences , démons depuis tant d'années apaisés , puissance de la musique qui fait encore vibrer ces cordes qu'on croit brisées.
Rome |
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire