Dvorak-Serenade in E major Op.22
La sérénade est un genre prenant sa source dans les manifestations amoureuses données sous les fenêtres de la Bien-aimée, selon une ancienne pratique connue depuis 1560 environ.
Dans le romantisme la qualification de "Sérénade" indique plutôt l'intention du compositeur de rendre l'atmosphère propre à ce genre par la simplicité de la forme, le nombre limité de musiciens, l'intimité et la modestie de la cadence et par un trait de plume en sérénade.
Dans le romantisme la qualification de "Sérénade" indique plutôt l'intention du compositeur de rendre l'atmosphère propre à ce genre par la simplicité de la forme, le nombre limité de musiciens, l'intimité et la modestie de la cadence et par un trait de plume en sérénade.
Mov.I moderato
"Par la chaleur de la mélodie le premier mouvement donne l'ambiance de toute l'oeuvre ..."
"Par la chaleur de la mélodie le premier mouvement donne l'ambiance de toute l'oeuvre ..."
Mov.II Tempo de valse
"...une valse vaporeuse avec des réminiscences de mazurka,un trio songeur en ré-bémol-majeur constitue le pôle opposé sur le plan stylistique. "
"...une valse vaporeuse avec des réminiscences de mazurka,un trio songeur en ré-bémol-majeur constitue le pôle opposé sur le plan stylistique. "
Mov.III Scherzo vivace
"..le scherzo joyeux possède également une partie centrale langoureuse sous forme de trio .."
"..le scherzo joyeux possède également une partie centrale langoureuse sous forme de trio .."
Mov.IV Larghetto
"Le larghetto chante en Notturno la force et la beauté de l'amour..."
"Le larghetto chante en Notturno la force et la beauté de l'amour..."
Mov.V Finale allegro vivace
Dans le final dont le thème enflammé fait penser aux danses slaves composées plus tard, les violoncelles citent le larghetto précédent à la place du developpement attendu.
La fin recueillie surprend dans ce moment si exubérant ;Elle reprend encore une fois le début tout en douceur du premier mouvement avant que la coda turbulente ne se charge de l'accent finalauquel chacun s'attend."
Dans le final dont le thème enflammé fait penser aux danses slaves composées plus tard, les violoncelles citent le larghetto précédent à la place du developpement attendu.
La fin recueillie surprend dans ce moment si exubérant ;Elle reprend encore une fois le début tout en douceur du premier mouvement avant que la coda turbulente ne se charge de l'accent finalauquel chacun s'attend."
Mon morceau préféré , sans doute à cause des tensions que font naître l'énergie des premières mesures et les retours aux périodes plus douces en phrases mélodiques d'autant de doutes et d'incertitudes qui remettent timidement en cause les fières résolutions ..Nous ne sommes pas chez Schubert , la pensée est moins profonde , plus dispersée , plus légère , mais c'est le parti de Dvorak et du genre .. La coda est presque "morale" !
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