« Que serait un monde sans la musique ? », disait un certain… « Que serait un monde sans images, sans couleurs, sans les mots ? Que serait l’homme sans émotions ? Son cœur est un luth suspendu ; sitôt qu’on le touche, il résonne. » – de Béranger
Encore une découverte, que ce poème pour luth et chant. Heureusement qu'au milieu des journées tièdes, il y a la fulgurance des blogs, comme des fenêtres ouvertes sur des paysages de rêves. "Silence beyond, beyond all speech a wisdom rare, she made her sighs to sing, and all things with so sweet a sadness move, as made my heart at once both grieve and love".
J'adore la musique élisabethaine... Dowland en particulier...
J'ai eu le plaisir d'en écouter en direct au festival de Saintes ( Charentes Mar).. par Damien Guillon...
d'autre part, connaissez vous la version qu'en a fait ( des chants de Dowland), le chanteur de rock "Sting", qui a fait tout un album, tout à fait dans "l'esprit des lieux", avec bien sûr sa note de voix particulière...
Je ne sais pas à quel album en particulier vous faites allusion , mais je connais en effet son répertoire "classique " .J'aime d'ailleurs particulièrement une pièce de Bach où il accompagne la chorégraphie de ma danseuse préférée Alesandra Ferri .
J'ai trouvé des extraits sur youtube ... J'aime beaucoup , je connaissais un peu . merci beaucoup . J'ai vraiment mes périodes élisabethaines , periode très riche dans tous les domaines . Je reprends si possible dans la journée le sujet "peinture " par mail ....A bientôt .
My apologies for writing in English. There are various interpretations of Mulready's painting. While the inclusion of Dowland's song here suggests that the recipient of the young man's sonnet may be emotional - indeed, that she might be in love with him, and weeping at the beauty of his verse - another view of is that she is attempting to suppress laughter out of embarrassment at her young lover's rather poor attempt at poetry. Certainly the expression on her face is, I think, ambivalent and open to interpretation, and adds to the painting's interest.
Encore une découverte, que ce poème pour luth et chant. Heureusement qu'au milieu des journées tièdes, il y a la fulgurance des blogs, comme des fenêtres ouvertes sur des paysages de rêves.
RépondreSupprimer"Silence beyond, beyond all speech a wisdom rare, she made her sighs to sing, and all things with so sweet a sadness move, as made my heart at once both grieve and love".
Les blogs comme des fenêtres ouvertes , pour des voyages dans le temps et l'espace ... et des rencontres si chaleureuses .
RépondreSupprimerMerci Edith .
J'adore la musique élisabethaine... Dowland en particulier...
RépondreSupprimerJ'ai eu le plaisir d'en écouter en direct au festival de Saintes ( Charentes Mar).. par Damien Guillon...
d'autre part, connaissez vous la version qu'en a fait ( des chants de Dowland), le chanteur de rock "Sting", qui a fait tout un album, tout à fait dans "l'esprit des lieux", avec bien sûr sa note de voix particulière...
Je ne sais pas à quel album en particulier vous faites allusion , mais je connais en effet son répertoire "classique " .J'aime d'ailleurs particulièrement une pièce de Bach où il accompagne la chorégraphie de ma danseuse préférée Alesandra Ferri .
RépondreSupprimer"song of the labyrinth"...
RépondreSupprimervoir la pochette: http://www.qobuz.com/images/jaquettes/0060/0060251703139_600.jpg
J'ai trouvé des extraits sur youtube ... J'aime beaucoup , je connaissais un peu .
RépondreSupprimermerci beaucoup . J'ai vraiment mes périodes élisabethaines , periode très riche dans tous les domaines .
Je reprends si possible dans la journée le sujet "peinture " par mail ....A bientôt .
My apologies for writing in English. There are various interpretations of Mulready's painting. While the inclusion of Dowland's song here suggests that the recipient of the young man's sonnet may be emotional - indeed, that she might be in love with him, and weeping at the beauty of his verse - another view of is that she is attempting to suppress laughter out of embarrassment at her young lover's rather poor attempt at poetry. Certainly the expression on her face is, I think, ambivalent and open to interpretation, and adds to the painting's interest.
RépondreSupprimer