« Que serait un monde sans la musique ? », disait un certain… « Que serait un monde sans images, sans couleurs, sans les mots ? Que serait l’homme sans émotions ? Son cœur est un luth suspendu ; sitôt qu’on le touche, il résonne. » – de Béranger
The Silence - Bergman / Piano Concert nº 2 - Brahms
Le Silence
Ingmar Bergman
(Suède 1963 )
Anna et Esther, deux soeurs, rentrent en Suède après un voyage à l'étranger. Elles sont accompagnées de Johan le fils d'Anna . A la suite d'un malaise d'Esther, elles font halte dans une ville inconnue, dont les habitants parlent une langue qui leur est tout à fait étrangère. Dès lors, Esther et Anna sont confrontés au silence de l'incommunicabilité .
Le Silence est parfois considéré comme faisant partie d'une trilogie réunissant également " A travers le miroir" et les Communiants" et baptisée la trilogie de l'absence de Dieu. Après avoir rmpu avec la foi dans les deux précédentes oeuvres , le cinéaste explore dans le silence les moyens d'échapper à la solitude. Un film au climat oppressant, magnifiquement inyerprété .
Un superbe film, effectivement, tant au niveau plastique, l'éclairage, que l'intensité du jeu des acteurs, et qui laisse souvent chez Bergman, aussi, une impression de malaise.
Je viens de "débarquer" sur votre blog, il semble qu'il soit bourré de choses intéressantes... la musique, les arts, la poésie, j'essaie aussi de faire ces chemins de traverse à travers mes publications, celles qui concernent les arts par exemple dans http://rechab-art-encore.blogspot.com.
Attention, suite à un piratage de boîte il y a six mois, je ne suis plus en mesure de valider les commentaires...
Merci de votre passage , mais je n'arrive pas à ouvrir le lien menant à votre site. Si vous pouviez me le communiquer par mail (je pense que mon adresse est lisible ), j'aimerais bien voir également ce que vous faites . J'ai pu acceder à quelques photos interessantes que vous avez postées . A bientôt j'espère ...
Un superbe film, effectivement, tant au niveau plastique, l'éclairage, que l'intensité du jeu des acteurs, et qui laisse souvent chez Bergman, aussi, une impression de malaise.
RépondreSupprimerJe viens de "débarquer" sur votre blog, il semble qu'il soit bourré de choses intéressantes... la musique, les arts, la poésie, j'essaie aussi de faire ces chemins de traverse à travers mes publications, celles qui concernent les arts
par exemple
dans http://rechab-art-encore.blogspot.com.
Attention, suite à un piratage de boîte il y a six mois, je ne suis plus en mesure de valider les commentaires...
Merci de votre passage , mais je n'arrive pas à ouvrir le lien menant à votre site. Si vous pouviez me le communiquer par mail (je pense que mon adresse est lisible ), j'aimerais bien voir également ce que vous faites . J'ai pu acceder à quelques photos interessantes que vous avez postées .
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